Un mécanisme de détection de la virulence microbienne chez la drosophile
Résultat scientifique
Des chercheurs strasbourgeois du laboratoire Modèles insectes de l'immunité innée (M3I | CNRS) et de l'Institut pluridisciplinaire Hubert Curien (IPHC | CNRS Unistra) ont mis en évidence un mécanisme original de reconnaissance des infections chez la mouche drosophile. Il permet de détecter l'activité des enzymes microbiennes responsables de la virulence, plutôt que des motifs moléculaires spécifiques des microorganismes, qui constituent des signaux de "non-soi". Ces résultats sont publiés dans la revue Molecular Cell.